Jean-Claude Penrad
Renaître dans la lumière de Nowruz.
Être en dépit du mal être imposé.
Être inlassablement, dans les pensées des autres, toujours bienveillantes, réconfortantes et chaleureuses, édifices tristes et émouvants.
Les jours contraints comblent l’absence comme cet assortiment de petites pierres choisies et assemblées. Ils s’agrègent en faisceau d’amitiés.
L’azur réveille alors la turquoise et fait vibrer les pensées en chacun de nous, comme l’équinoxe de printemps éclaire l’espoir, le goût de vivre pleinement.
May, Anne Leila, Diane Selma et moi nous ajoutons au « Haft sin » nos notes de lumière et de la poudre d’azur dans une petite coupelle de Nowruz, sur le sentier de ta vie libre où nous voulons te croiser, avec impatience.
Jean-Claude Penrad, EHESS-IMAf
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Richard Banegas (24 mars 2021). Jean-Claude Penrad. Fariba Adelkhah & Roland Marchal Support Committee. Consulté le 11 février 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/op4t